jeudi 9 août 2007

Casablanca se sert de Bogart pour faire croître sa Bourse


9 août 2007 - 06h00
Bloomberg


Venu de la mer, le brouillard de minuit envahit le terrain d'aviation Enfa, à Casablanca, où l'adieu de Rick à Ilsa, en 1942, a donné naissance à la magie cinématographique de Humphrey Bogart et de Ingrid Bergman.

Aujourd'hui, les habitués de la Bourse de Casablanca soutiennent que ce film d'amour et de rédemption, dans un contexte de conflit mondial, contribue à attirer des investisseurs occidentaux dans le coeur financier du Maroc, à une époque où la crainte du terrorisme fait en sorte que le monde musulman cherche désespérément des moyens de drainer des capitaux étrangers.

«Pas de doute que Casablanca attire les investisseurs», soutient Touda Loutfi, directrice de la planification de la Bourse de Casablanca.

«Après le Maroc, nos plus importants clients viennent de Grande-Bretagne, des États-Unis, de France et du Japon, des pays où le film est devenu l'objet d'un culte», ajoute-t-elle.

Les bruit des cornes des navires marchands dans le port est assez puissant pour traverser les vitres teintées de bleu de l'imposant édifice de la Bourse. Un siège pour la vie sur le parquet des transactions électroniques, qui accueille 14 membres, coûte aux courtiers 670 000 $ US, comparativement à 50 000$US par année pour une licence de la Bourse de New York.


Avec une capitalisation de 47,2 milliards US représentant 69 entreprises, la Bourse de Casablanca, vieille de 77 ans, est bien modeste par rapport à la capitalisation boursière de 13,4 billions US (un billion équivaut à 1000 milliards) des entreprises qui composent l'indice S&P 500.

Il reste que les Bourses de Casablanca et du Koweït sont celles qui offrent la meilleure performance parmi les 10 Bourses du monde arabe.

«C'est un marché en plein essor qui offre beaucoup de potentiel», assure Henry Azzam, 56 ans, PDG de la division du Proche-Orient et de l'Afrique du Nord de Deutsche Bank.

«Casablanca est le centre d'affaires du Maghreb», dit-il.

«Casablanca est une ville peuplée de nombreux personnages», indique M. Azzam, qui travaille à partir de Dubaï et qui visite Casablanca au moins quatre fois par année. «Et bien sûr, j'ai un trench-coat à la Bogart», précise-t-il.

Badr Alioua, responsable des transactions sur actions et sur valeurs à revenu fixe de la Banque Attijariwafa, soutient que le roi Mohammed VI, 43 ans, a fait de Casablanca l'endroit le plus «hot» pour les affaires dans le monde arabe.

L'an dernier, le produit intérieur brut du Maroc a crû de 8,1% contre 1,7% en 2005. Moody's Investors Service indique que le pays est «stable», et que ses atouts sur le plan du crédit sont sa population jeune de même que ses progrès structuraux et démocratiques.

Selon M. Alioua, l'accord donné par le roi à l'adoption du capitalisme et à la liberté d'expression, de même qu'une interprétation tolérante du Coran, font en sorte que les jeunes Marocains instruits ne quitteront pas le pays.

«Le facteur jeunesse de ce marché est d'une importance capitale pour la poursuite de nos succès», assure M. Alioua, 27 ans.

«Casablanca est, comme dans le film, un endroit où les jeunes sont prêts à courir des risques, dit-il. En outre, c'est le film Casablanca qui nous a fait connaître des Américains, et nous devons en tirer parti.»

Hors de la Bourse, le long des rues bruyantes sur front de mer, la vue des courtiers qui vivent dans un monde irréel contraste avec les islamistes radicaux, pour qui les films de Hollywood, l'alcool et les instruments financiers porteurs d'intérêts sont des sujets tabous.

En mai 2003, cinq attaques à la bombe perpétrées à Casablanca par des militants d'Al-Qaeda ont fait 45 morts, dont 12 kamikazes. Un autre attentat commis en mars dernier a fait trois blessés dans un café et causé la mort du terroriste.

Mais c'est une autre rencontre d'idéaux (le fascisme contre la liberté) qui faisait les manchettes le 26 novembre 1942, jour de la première de Casablanca au Hollywood Theatre, à New York.

Les bruit des cornes des navires marchands dans le port est assez puissant pour traverser les vitres teintées de bleu de l'imposant édifice de la Bourse. Un siège pour la vie sur le parquet des transactions électroniques, qui accueille 14 membres, coûte aux courtiers 670 000 $ US, comparativement à 50 000$US par année pour une licence de la Bourse de New York.


Avec une capitalisation de 47,2 milliards US représentant 69 entreprises, la Bourse de Casablanca, vieille de 77 ans, est bien modeste par rapport à la capitalisation boursière de 13,4 billions US (un billion équivaut à 1000 milliards) des entreprises qui composent l'indice S&P 500.

Il reste que les Bourses de Casablanca et du Koweït sont celles qui offrent la meilleure performance parmi les 10 Bourses du monde arabe.

«C'est un marché en plein essor qui offre beaucoup de potentiel», assure Henry Azzam, 56 ans, PDG de la division du Proche-Orient et de l'Afrique du Nord de Deutsche Bank.

«Casablanca est le centre d'affaires du Maghreb», dit-il.

«Casablanca est une ville peuplée de nombreux personnages», indique M. Azzam, qui travaille à partir de Dubaï et qui visite Casablanca au moins quatre fois par année. «Et bien sûr, j'ai un trench-coat à la Bogart», précise-t-il.

Badr Alioua, responsable des transactions sur actions et sur valeurs à revenu fixe de la Banque Attijariwafa, soutient que le roi Mohammed VI, 43 ans, a fait de Casablanca l'endroit le plus «hot» pour les affaires dans le monde arabe.

L'an dernier, le produit intérieur brut du Maroc a crû de 8,1% contre 1,7% en 2005. Moody's Investors Service indique que le pays est «stable», et que ses atouts sur le plan du crédit sont sa population jeune de même que ses progrès structuraux et démocratiques.

Selon M. Alioua, l'accord donné par le roi à l'adoption du capitalisme et à la liberté d'expression, de même qu'une interprétation tolérante du Coran, font en sorte que les jeunes Marocains instruits ne quitteront pas le pays.

«Le facteur jeunesse de ce marché est d'une importance capitale pour la poursuite de nos succès», assure M. Alioua, 27 ans.

«Casablanca est, comme dans le film, un endroit où les jeunes sont prêts à courir des risques, dit-il. En outre, c'est le film Casablanca qui nous a fait connaître des Américains, et nous devons en tirer parti.»

Hors de la Bourse, le long des rues bruyantes sur front de mer, la vue des courtiers qui vivent dans un monde irréel contraste avec les islamistes radicaux, pour qui les films de Hollywood, l'alcool et les instruments financiers porteurs d'intérêts sont des sujets tabous.

En mai 2003, cinq attaques à la bombe perpétrées à Casablanca par des militants d'Al-Qaeda ont fait 45 morts, dont 12 kamikazes. Un autre attentat commis en mars dernier a fait trois blessés dans un café et causé la mort du terroriste.

Mais c'est une autre rencontre d'idéaux (le fascisme contre la liberté) qui faisait les manchettes le 26 novembre 1942, jour de la première de Casablanca au Hollywood Theatre, à New York.

Les bruit des cornes des navires marchands dans le port est assez puissant pour traverser les vitres teintées de bleu de l'imposant édifice de la Bourse. Un siège pour la vie sur le parquet des transactions électroniques, qui accueille 14 membres, coûte aux courtiers 670 000 $ US, comparativement à 50 000$US par année pour une licence de la Bourse de New York.


Avec une capitalisation de 47,2 milliards US représentant 69 entreprises, la Bourse de Casablanca, vieille de 77 ans, est bien modeste par rapport à la capitalisation boursière de 13,4 billions US (un billion équivaut à 1000 milliards) des entreprises qui composent l'indice S&P 500.

Il reste que les Bourses de Casablanca et du Koweït sont celles qui offrent la meilleure performance parmi les 10 Bourses du monde arabe.

«C'est un marché en plein essor qui offre beaucoup de potentiel», assure Henry Azzam, 56 ans, PDG de la division du Proche-Orient et de l'Afrique du Nord de Deutsche Bank.

«Casablanca est le centre d'affaires du Maghreb», dit-il.

«Casablanca est une ville peuplée de nombreux personnages», indique M. Azzam, qui travaille à partir de Dubaï et qui visite Casablanca au moins quatre fois par année. «Et bien sûr, j'ai un trench-coat à la Bogart», précise-t-il.

Badr Alioua, responsable des transactions sur actions et sur valeurs à revenu fixe de la Banque Attijariwafa, soutient que le roi Mohammed VI, 43 ans, a fait de Casablanca l'endroit le plus «hot» pour les affaires dans le monde arabe.

L'an dernier, le produit intérieur brut du Maroc a crû de 8,1% contre 1,7% en 2005. Moody's Investors Service indique que le pays est «stable», et que ses atouts sur le plan du crédit sont sa population jeune de même que ses progrès structuraux et démocratiques.

Selon M. Alioua, l'accord donné par le roi à l'adoption du capitalisme et à la liberté d'expression, de même qu'une interprétation tolérante du Coran, font en sorte que les jeunes Marocains instruits ne quitteront pas le pays.

«Le facteur jeunesse de ce marché est d'une importance capitale pour la poursuite de nos succès», assure M. Alioua, 27 ans.

«Casablanca est, comme dans le film, un endroit où les jeunes sont prêts à courir des risques, dit-il. En outre, c'est le film Casablanca qui nous a fait connaître des Américains, et nous devons en tirer parti.»

Hors de la Bourse, le long des rues bruyantes sur front de mer, la vue des courtiers qui vivent dans un monde irréel contraste avec les islamistes radicaux, pour qui les films de Hollywood, l'alcool et les instruments financiers porteurs d'intérêts sont des sujets tabous.

En mai 2003, cinq attaques à la bombe perpétrées à Casablanca par des militants d'Al-Qaeda ont fait 45 morts, dont 12 kamikazes. Un autre attentat commis en mars dernier a fait trois blessés dans un café et causé la mort du terroriste.

Mais c'est une autre rencontre d'idéaux (le fascisme contre la liberté) qui faisait les manchettes le 26 novembre 1942, jour de la première de Casablanca au Hollywood Theatre, à New York.


http://www.lapresseaffaires.com/article/20070809/LAINFORMER/708090502/5891/LAINFORMER01

lundi 30 juillet 2007

Tunisie : Des marocains pour reprendre la Sotuver ?


La Société d'exploitation de verreries au Maroc (SEVAM) pourrait s'installer en Tunisie. Le leader marocain de ce secteur s'intéresse au rachat de la Société tunisienne de verreries (Sotuver).
Pour l'heure, ils ne sont que deux opérateurs à vouloir reprendre cet ex-fleuron de l'industrie tunisienne devenue déficitaire ces dernières années.
Le groupe français Saint-Gobain est également intéressé.
La Sotuver est l'unique producteur tunisien d'emballage en verre pour l'industrie des boissons et alimentaire. La société produit des bouteilles pour les boissons gazeuses et non gazeuses, le vin, La bière et l'eau minérale. Les autres lignes de produits concernent les bouteilles de parfum, les pots pour aliments et les verres de table. La capacité de production de la Sotuver a doublé en 2004 pour atteindre 45000 tonnes de produits finis par an. La production est destinée essentiellement au marché local. Toutefois, la société est entrain d'augmenter ses exportations vers les pays voisins.

30-07-2007

par : Source: Challenge Hebdo

http://www.africanmanager.com/articles/114004.html

dimanche 29 juillet 2007

Inauguration de Tanger-Med, futur premier port à conteneurs de Mediterannée

TANGER (Maroc) - Tanger-Med, dont l'ambition est de devenir le premier port à conteneurs de Méditerranée et d'Afrique, a été inauguré vendredi par le roi Mohammed VI, qui avait lancé les travaux il y a juste quatre (bien quatre) ans.

Pour montrer ses ambitions, ce nouveau port situé sur la rive sud du détroit de Gibraltar, a accueilli pour l'occasion le plus grand porte-conteneurs au monde, l'Evelyn Maersk, qui transportait 11.000 conteneurs, soit l'équivalent de 100.000 tonnes, alors que les cinq grues géantes du premier terminal se mettaient en mouvement pour les décharger.

Les conteneurs doivent être ensuite acheminés dans toute la région.

Selon l'Agence spéciale Tanger-Méditerranée (TMSA), qui gère le complexe portuaire, la capacité annuelle prévisionnelle de trafic de Tanger-Med I est de 3,5 millions d'EPV (conteneurs équivalents vingt pieds) et elle sera atteinte en 2015.

Ce complexe portuaire comprend trois terminaux à conteneurs, un terminal à hydrocarbures, un port roulier et des zones franches d'activités industrielles, logistiques et tertiaires, a expliqué à l'AFP Saïd el-Hadi, président du directoire de TSMA.

Sa construction avec les infrastructures routières et ferroviaires coûteront au total 3,5 milliards d'euros.

Pour un montant global de 350 millions d'euros, la concession de 30 ans du Terminal 1 a été accordée au groupement APM Terminals, filiale à 90% du groupe danois Maersk, qui est le troisième opérateur portuaire mondial et le premier armateur avec une flotte de plus de 250 navires, totalisant une capacité de chargement de plus de 12 millions de tonnes.

Un autre quai à conteneurs a été confié à un groupement composé par Erogate-Contship Italia (Allemagne-Italie), MSC (Suisse) et CMA-CGM (France), qui doit entrer en fonction en 2008. La concession d'un troisième terminal a conteneurs sera attribuée en 2009.

En outre un terminal à hydrocarbures a été accordé à un consortium koweito-emirati-marocain, qui commencera à fonctionner à la fin de l'année prochaine. Il y aura aussi un port roulier permettant un transit annuel de sept millions de passagers et 700.000 poids-lourds.

"Le Maroc s'est repositionné en Mediterranée car dans le passé il lui tournait le dos. Tanger-Med sera à terme le plus grand port de Mediterannaée et d'Afrique", a affirmé à l'AFP le Premier ministre Dris Jettou.

Pour sa part, A.P. Mc-Kinney Møller, 94 ans, principal actionnaire du goupe, a souligné que ce port se trouvait à la "croisée de quatre continents et jouera un rôle majeur dans la croissance du Maroc, pays qui déploie des efforts pour se positionner dans l'economie mondiale".

Mais victime de son succès avant même sa mise en service, le nouveau port de Tanger (nord) devrait être saturé dès 2015, obligeant ses responsables à envisager son extension pour recevoir à terme 8,5 millions de conteneurs par an.

"Nous achevons des études de faisabilité de Tanger-Med II qui, d'ici 2012, traitera un supplément de 5 millions d'EPV", a expliqué M. el-Hadi.

(©AFP / 27 juillet 2007 20h49)


http://www.romandie.com/infos/news2/070727184903.etw1hh93.asp

jeudi 26 juillet 2007

Agadir : L’huile d’argan, la potion magique des villageoises

Pour ses nombreuses vertus, l’huile d’argan est, aujourd’hui, très sollicitée et exportée vers l’étranger. Pour les femmes de la région du Souss qui fabriquent cette huile, l’argan est synonyme d’un avenir meilleur.


L’huile d’argan se fraie un chemin vers le marché international. Cette huile, aux vertus médicinales, cosmétiques et aromatiques indéniables, s’exporte de plus en plus. Ce qui a eu pour effet de changer la vie de plusieurs familles dans la région du Souss. Le rituel de la préparation de l’huile d’argan, auquel les femmes consacraient, il y a peu, leurs heures creuses, est devenu une activité commerciale drainant un revenu important pour toute la famille.
La population de plusieurs villages de la région de Souss-Massa-Drâa vit carrément de la vente de cette huile, produite par des femmes travaillant durement toute la journée pour subvenir aux besoins de leurs familles en usant des richesses de leur milieu naturel. La fabrication de quelques litres de cette huile demande des heures et des heures de travail acharné. Passant du ramassage des noix jusqu’à la phase finale de la mise en bouteille. «La préparation de l’huile d’argan se fait par un long processus qu’il faut soigneusement respecter. Dans un premier temps, nous ramassons les fruits de l’arganier et nous les séchons au soleil. Une fois cette étape accomplie, nous les épluchons à l’aide de deux pierres. Nous ne gardons que les noyaux qu’il faudra concasser, ensuite», explique Hajja Fatima, une de ces femmes devenues, par la force du temps, des spécialistes de la fabrication de l’huile d’argan. Le processus de cette transformation n’a pas encore pris fin. Les noyaux extraits sont grillés et écrasés à l’aide d’un moulin en pierre appelé «Azrg ». Résultat : une pâte que l’on nomme, ici, «Tazgmout». «On malaxe soigneusement cette pâte à la main tout en rajoutant de l’eau tiède. L’huile remonte progressivement de la pâte et nous la mettons dans des bouteilles», explique Haja Fatima. «Un litre d’huile nécessite une vingtaine d’heures de travail», tient-elle à souligner.
Hajja Fatima a choisi de travailler en solo, alors que d’autres ont de plus en plus tendance à s’organiser en coopératives bénéficiant de l’aide du gouvernement pour se plier aux exigences du marché. En effet, des centaines de coopératives et d’associations se sont multipliées dans la région de Souss-Massa-Drâa au fil de ces dernières années. «Le projet arganier» est l’un de ces projets modèles.
Fruit d’un partenariat entre le Maroc et l’Union européenne, ce projet vise, entre autres, à améliorer la situation de la femme rurale et à lui inculquer une meilleure gestion des ressources naturelles notamment de l’arganier. L’Usaid (Agence américaine pour le développement international) a également mis en place un grand projet de soutien aux femmes assurant leur vie pour la fabrication de l’huile d’argan dans les villages d’Immouzer. Ce même projet a profité à une centaine de femmes de la région. Si l’argan est, aujourd’hui, l’une des huiles les plus recherchées et exportées dans le monde entier, la réponse à une demande internationale exige la modernisation continue de la fabrication.
La manière artisanale ne peut guère suivre une demande de plus en plus exigeante. Machines pour l’extraction de l’huile, techniques d’emballages et de commercialisation, les femmes, pour la plupart analphabètes, doivent savoir gérer et maîtriser surtout ces outils, d’où la nécessité d’une politique de développement durable visant également le soutien et l’appui à ces femmes au niveau de la formation pour faire face aux demandes du marché international.

Le 25-7-2007

http://www.aujourdhui.ma/regions-details55929.html

Un Soft centre à Rabat

L’état d'avancement des études au sujet de la mise en place d'un centre de recherche pour le développement de logiciels (Soft centre), qui accueillera des entreprises de haute technologie installées autour de laboratoires de recherche, a été au menu du Conseil d'administration de l'Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT), tenu mardi dernier à Rabat sous la présidence du Premier ministre, Driss Jettou. Le Soft centre sera installé à la technopole de Rabat sur une superficie de 7.700 m2. À cette occasion, le directeur général de l'ANRT a présenté aussi le projet de participation de l'Institut national des postes et télécommunications (INPT) au GIP FORMAC qui vise la création d'un institut supérieur des métiers de l'audiovisuel et du cinéma. Le conseil a, ainsi, donné son accord pour une participation de l'agence à hauteur de 15 %. Au menu, il y avait également le projet de révision du plan national de numérisation pour le passage à 10 chiffres au lieu de neuf actuellement.

Le 26-7-2007

http://www.aujourdhui.ma/instantanes-details55938.html

Intégration d'un espace de commercialisation de l'artisanat dans la station balnéaire de Saidia

Le ministère du Tourisme, de l'Artisanat et de l'Economie sociale et le Groupe Fadesa-Maroc ont signé, mercredi à Casablanca, un contrat de construction d'une Médina d'artisanat intégrant un espace de commercialisation d'artisanat d'art marocain au sein de la station touristique balnéaire de Saïdia.
En vertu de ce contrat, signé par le ministre du Tourisme, de l'Artisanat et de l'Economie sociale, M. Adil Douiri et le directeur général du Groupe Fadesa-Maroc, M. Juan Cano, l'opérateur touristique s'engage à construire cet espace qui comprendra des locaux d'une superficie moyenne de 20 à 25 m2 concédés pour la location à des prix 50 pc moins cher que ceux des magasins commercialisés dans la station.

Ce projet, inscrit dans le cadre de la Vision 2015 pour l'Artisanat, sera composé de plusieurs modules dont des boutiques d'artisanat pour la commercialisation de produits haut de gamme, des ateliers d'initiation au travail artisanal, des lieux d'animation (restaurants, café maure) ainsi que des boutiques dédiées à la vente de produits du terroir tel l'art de la table.

Intervenant à cette occasion, M. Douiri a fait savoir que cet espace d'artisanat de Saidia sera prochainement suivi par d'autres similaires au sein de la Station touristique de Laguna Smir (Tamuda Bay) et de la station balnéaire de Plage Blanche (Guelmim).

Ainsi, a-t-il ajouté, l'Etat multiplie les opportunités de commercialisation directe au profit des mono-artisans, dont la clientèle naturelle est celle des touristes.

Le Maroc, qui compte dupliquer cette démarche aux autres projets touristiques, veut de ce fait accélérer la construction de tels espaces de commercialisation, sans qu'il ne soit nécessaire de solliciter le financement public, a-t-il encore ajouté.

25-07-2007

http://www.wabayn.com/maroc/250707-int-gration-dun-espace-de-commercialisation-de-lartisanat-dans-la-station-baln.html

Maroc: AL-Walid Ben Talal dans la distribution

Les négociations vont bon train pour permettre au Prince Al-Walid Ben Talal de lancer plusieurs hypermarchés Kingdom Holding sur le territoire marocain. Avec une première unité à Casablanca qui sera suivie par Marrakech et Tanger.

Source: Challenge Hebdo

24-07-2007

http://www.dev-export.com/detailsafrique.php?numafrique=547